Le sens donné par les jeunes à la réussite professionnelle diffère des générations précédentes.
Par Maxime Verner.

Le sens donné par les jeunes à la réussite professionnelle diffère des générations précédentes. Pour eux, elle est d’abord l’épanouissement dans le travail et l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée. Ils ne veulent plus tout sacrifier à leur emploi et sont 41 % à vouloir prendre la place de leur supérieur hiérarchique. Les organisations vont donc devoir redoubler d’efforts pour les motiver à moyen et long-terme, autrement que par les primes.
Mais l’intérêt pour l’entrepreneuriat se confirme (plus de la moitié des étudiants et jeunes diplômés ont déjà eu envie de créer leur entreprise) et la perspective de l’exil pour trouver son emploi semble séduire davantage les étudiants (60 %) que les jeunes diplômés (49 %).
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Sur le web.
3 réponses
Revalorisons le taillage de pavé, ca peut toujours servir un jour…
Valorisation des jeunes, c’est pas une sorte de transformation du jeune en un produit marketing ? En tout cas il y a un décalage idéologique et réaliste entre les études proposées d’une part et les offres offertes d’autre part. Le jeune qui croit, sans y croire, faire des études pour trouver un travail en est la preuve….on touche au probleme du developpement des futurs pays pauvres et anciens pays riches. Que des bac+5 font une société qui pense, qui écrit, qui conceptualise le chomage, mais qui ne produit plus rien….alors, une idée, une petite loi, une classification, pour ces futurs pauvres crées par le système ?
Il vaut mieux s’habituer au jambon beurre dés maintenant dans ces conditions….